lundi 22 septembre 2008

En construction.

Si on compare le blog en néerlandais avec celui-ci, il est clair que je dois encore consacrer plusieurs heures nocturnes à la traduction du paquet total d'information. Je me console à l'idée que les cours chez De Koploper ont déjà commencé et de plus ils sont en néerlandais...
Mais traduire le contenu du magasin.. Par exemple, vous expliquer qu'il y a 70 espèces de terre. Commençant par les pâtes faïences blanches, passant par toute la palette des grès et les barbotines, pour arriver aux terres d'aspects subtiles vous invitant à faire votre choix personnel... M'adapter aux termes des matières premières pour vous assister à la découverte des émaux... Expliquer les caractéristiques d'un tour ou d'un four...
Tout cela est "en construction"...

Je fais de mon mieux...

Chers lecteurs francophones,
Je désire m'adresser à vous dans la belle langue d' Axelle Red et de Jacques Brel, entre autres. J'ai appris le français à l'école. Je passe le plus possible mes jours de vacances en France.
Néanmoins, je parle avec un accent bien perceptible et j'écris sûrement assez de fautes pour faire rougir le dictionnaire qui m'accompagne dans cette aventure.
Mais, je persévère en espérant que vous aurez un peu de bonne volonté...

C'est ici.


Harelbeke, c'est où?
Et bien, il y a maintenant 20 ans (déjà !) que Carina, cherchant du travail comme "designer industriel", est arrivée à Coutrai. Elle avait même emporté son mari. Ils ont cherché une habitation et c'est ainsi qu'ils se sont installés dans cette rue à Harelbeke.
Dans le courant des années 2 fils sont nés au numéro 26 et Carina s'est chargée de leur éducation, avec un succès variable...
Mais c'est quand le démon du midi s'est annoncé, que les parents ont vu naître un dernier descendant encore beaucoup plus entreprenant que les deux premiers ensemble! Ils l'ont appelé De Koploper. Ce nom est assez difficile à expliquer en Français. D'une part c'est un petit personnage sans tronc, uniquement la tête (=kop) sur deux jambes, mais d'autre part c'est celui qui court (=loper) toujours en tête, le premier. Le choix de ce nom est inspiré par des dessins que les deux fils faisaient au moment où le plus jeune s'est annoncé.
De Koploper grandissant de plus en plus vite, les parents étaient obligés de l'installer dans sa propre maison, au numéro 24, à fin de garder un peu de paix dans leur ménage...
Dés qu'il se sentait bien dans son nouvel environnement, il a créé sa propre entreprise. Il a annoncé qu'il allait vendre tout pour le céramiste et le potier! Oui, il avait la tête (sic!) dure...
Très vite il a convaincu sa maman de venir travailler pour lui. Comme elle travaillait déjà la terre avec tant d'amour, elle n'était pas difficile à séduire. Ses deux frères n'ont pas besoin de fitness pour exercer les muscles avec tant de paquets de terre à transporter et leur père, qui est très adroit pour toutes sortes d'arrangements dans la maison, n'a plus beaucoup de temps libre à cause de l'aménagement du magasin...
De Koploper, il va encore faire parler de lui!